À Lille et dans ses environs, j’ai préféré ces lieux et ces événements:
- Chambre à Part: les concerts de musique de chambre les dimanche matin au Conservatoire de Lille,
- l’Atelier Lyrique à Tourcoing,
- la Rose des Vents à Villeneuve d’Ascq, y arrivant bien en avance pour y profiter d’un sandwich et d’une bière,
- le Salon de Théâtre à Tourcoing,
- et quelques autres (La Verrière, Le Prato, du Nord…),
- Cité Philo, le mois de la philosophie,
- le Palais des Beaux-Arts, ses grandes galeries et sa Descente de croix de Rubens, sans oublier ses fauteuils,
- le Bois de la Citadelle, avec, ces dernières années, l’allée des Marronniers, et quelques bancs particulièrement bien placés (en haut en face de la Porte Dauphine, et à coté de la Deûle),
- le Parc Barbieux à Roubaix,
- le musée La Piscine à Roubaix,
- la chapelle Sainte-Thérèse à Hem,
- l’église Saint-André,
- faire du vélo le long de l’Escaut au nord de Tournai,
- les conférences des mardi-soir à l’espace culture de l’Université des Sciences et Technologies (quelque peu chamboulées par la fusion des universités),
- le FIFA de Montréal, Festival international du film sur l’art, dont plusieurs films étaient montrés au Fresnoy à Tourcoing,
- les expositions au Fresnoy,
- le monument canadien à Vimy,
- tous les étés, les festivals de la poésie à Watou,
- les bus des lignes 3 et 6, et plus tard 10 je pense, dont les trajets avaient de quoi rendre jaloux les touristes dans leurs City Tours, (les trajets ont été modifiés depuis, et ça se comprend),
- les librairies de la rue de la Monnaie (disparues), celles de la rue Esquermoise (disparues) et celle de la rue Gambetta (Le Bateau Livre), sans oublier Autour du Monde dans la rue de Paris,
- les buralistes et magasins de presse où j’achetais Le Canard,
- la boulangerie de la place Saint-André et son pain au levain,
- les produits des régions de France dans les magasins et rayons alimentaires,
- ma traversée presque quotidienne de la Plaine Churchill pour aller au travail,
- le magasin photo du boulevard Carnot,
- les lilloises et les lillois — la plupart — d’un “Lille” très étendu.
(initialement écrit en 2021, quelque-peu complété et publié en 2024)