Le nouveau livre de Thomas Piketty m’a interpellé: “Capital et Idéologie”, lu dans le train d’Anvers à Vienne en septembre dernier. Certes, le précédent m’avait interpellé aussi, “Le Capital au XXIe siècle”, mais alors que celui-ci m’avait interessé dans sa globalité, celui-là l’a fait par certains de ses chapitres.
Un de ces chapitres concerne l’esclavage. Voici ce que j’ai lu, et surtout ce que j’en ai conclu: La France n’a jamais aboli l’esclavage.
[Si j’ai mis du temps à écrire ce texte, c’est entre autres dû au déménagement que j’ai entrepris dès mon retour de Vienne, et aux complications administratives transfrontalières, quelque-peu plus importantes qu’attendu. Et puis: le sujet n’est pas simple.]